posté le 31-07-2009 à 01:19:01

Faut il parler pendant le sexe ?


Bonsoir à tous et à toutes

 

Afin de remettre un peu de légèreté pour contrebalancer avec la gravité du dernier sujet, je vous propose d’aborder ce soir le thème des petits mots doux ou coquins que l’on peut échanger avec son partenaire quand on fait l’amour.

En effet certains préfèrent le silence quand d’autres  font de leurs ébats de véritables proses… ^^ Alors quelle position adopter ?

Bon, il faut l’avouer, le silence ça a du bon… Quand on fait l’amour et que l’on se sent bien avec son partenaire, les mots ne sont pas nécessaires et peuvent s’échanger par le jeu des regards. Mais le fait de susurrer quelques mots à l’oreille de son partenaire peut rendre l’instant encore meilleur !

Le tout est d’employer le bon vocabulaire…

 

 

 

 


« BAISE MOI » !!!

Les mots crus, un peu vulgaires sont les plus difficiles à user, car ils nécessitent une véritable confiance réciproque, surtout quand ils sont prononcés par l’homme.  En effet, celui qui lorsqu’il fait l’amour à sa nouvelle copine lui dirait des mots crus à la American Pie, risque fortement de se prendre une baffe monumentale et ne plus jamais revoir la belle !

De même une fille qui prononcerait ce genre de mots la première nuit risquerait de compromettre son image et orienter sa relation vers un sens purement « bestial » qu’elle n’aurait pas forcément choisit

 


Et oui, car le sexe in real life ne se déroule pas comme dans les films pornos

Pour user de ces mots crus, voir même vulgaires, il faut avoir l’accord plus ou moins implicite de son partenaire, et surtout sa confiance, car ce genre de mots peuvent être très mal pris…

Pourtant, bien utilisés et placés au bon moment, cela peut être très excitant, et cela peut même servir à réveiller la libido de certains couples…

 

Alors si cela vous tente, parlez-en avec votre partenaire… Incitez la à se « lâcher » et elle aussi user de mots fleuris ^^…

Attention ! Certaines personnes font un blocage sur le fait d’user de vulgarité pendant l’amour, et vous ne pourrez jamais les convaincre… Au mieux elles le feront sans envie, et cela sonnera tellement faux que cela vous cassera tout désir… Mieux vaut ne pas insister dans ce cas, et ne surtout pas user de ce genre de mots avec elle ! Mais qui sait, patience et confiance peuvent arranger bien des choses !

 

 

Une chanson douce…

A l’inverse, certains (ou plutôt certaines, je pense) aiment être inondées de mots doux pendant l’amour. Cela semble beaucoup moins compliqué que les mots crus, mais pourtant ce n’est pas si simple que ça, car les partisans du silence n’apprécieront pas forcément la litanie déversée par leur partenaire, d’autant + si ce dernier attend les mêmes discours mielleux de sa part…

Je pense qu’il faut distinguer le pendant l’acte sexuel, du « juste après » où là les mots doux posent moins de problème… Car on a beau dire tout ce que l’on veut sur la beauté de l’amour bla bla bla, le sexe ça reste basé sur l’excitation réciproque, et quand les mots crus peuvent l’augmenter, à l’inverse les mots doux peuvent casser une excitation

 

 

Quelque soit la position que vous souhaitez adopter, il faudra en parler avec votre partenaire… Et oui, car même quand une relation est purement sexuelle, on ne peut pas tout faire ! Il faut la confiance, même éphémère de votre partenaire.

 

Sur ce, bonne nuit à tous

 

VIOLET HILL

 


 
 
posté le 19-07-2009 à 23:24:25

Avortement: la plus grande décision dans la vie d'une femme

Bonsoir à toutes

 

 

Ce soir je souhaiterais aborder un sujet grave, je dirais même qu’il s’agit d’un des moments les + importants de la vie d’une femme : celui du test de grossesse…

Je pense que nous avons toutes été un jour été confrontée à ce stress, à ce moment de panique où l’on sent que sa vie pourrait basculer pour toujours…

 

J’entends déjà celles qui viendront avec leurs beaux discours sur la prévention, « avec un bon imperméable on ne craint pas la pluie »… Moi aussi je disais ça avant… Mais même quand on a la meilleure contraception, un accident n’est pas impossible, et est très vite arrivé !

 

 

Pourquoi faire un test ?

Suite à un rapport sexuel (même sans pénétration) non protégé, ou mal protégé (préservatif qui a craqué ou oubli de pilule), en cas de retard ou absence de règles etc.

 

Où acheter un test ?

Suite à un doute, ou juste pour être sur, on franchit cette étape, bien moins simple qu’on le pensait : on prend son courage à demain, on va à la pharmacie et l’on achète un test de grossesse sous le regard, parfois non approbateur, du pharmacien.

(vous avez aussi la possibilité de demander un test « bandelette » à votre médecin traitant à faire dans un laboratoire d’analyses biologiques.

 

Quand faire le test ?

Ces tests sont fiables à 99% dés le 23ème jour de fécondation supposé. Il fonctionne en détectant l’hormone HCG produite par l’embryon dés qu’il y a eut nidation. Avant le 23ème jour suivant le rapport non protégé, le test n’est donc pas fiable et pourrait vous donner un faux négatif alors que vous êtes enceinte.

De +, il est fortement conseillé de faire le test le matin car c’est à ce moment là que l’hormone HCG est la plus présente et donc détectable.

 

Une fois le test en main, on réalise alors l’enjeu : notre vie future va dépendre de ce petit trait rose qui apparaitra ou non.

Car la vie est injuste : quand on est ado, on est terrorisé à l’idée de tomber enceinte, alors que parfois, 20ans plus tard, ces ex phobique de la grossesse seront désespérées de ne pas réussir à enfanter.

 

Quelque soit le résultat attendu, on se retrouve avec ce test, et on ne sait soudainement plus quoi en faire….

 

Le résultat

Une fois le test fait, il faut patienter 5 minutes afin d’avoir le résultat. Autant vous dire que ces 5 minutes vous sembleront être les plus longues de toute votre vie…

Les tests comportent 2 cases : une case C (contrôle) dans laquelle un trait rose doit apparaitre pour vous indiquer que le test fonctionne correctement, et une case T (test) dans laquelle un trait (ou un +) apparaitra si vous êtes enceinte (vérifiez le mode d’emploi).

 

Dés lors 3 solutions possibles :

---> Aucun trait n’apparait : le test n’a pas fonctionné, vous l’avez peut être mal utilisé, refaites en un autre.

 

--> Un trait apparait dans la case C mais pas dans la case T : Ouf, vous n’êtes pas enceinte (avec 1% de risque d’erreur si le test a bien été réalisé après 23 jours) ! Je vous conseille de refaire un test à 7 jours d’intervalle au cas où.

 

--> Un trait apparait dans la case C et dans la case T : même si le trait est rose très pâle, cela signifie que vous êtes enceinte.

 

Je suis enceinte et je ne veux pas le rester…

Si le résultat du test est positif, ne paniquez pas, calmez vous… Ne perdez pas de temps et rendez vous directement chez votre médecin traitant ou votre gynécologue. Il vous prescrira une prise de sang, voir même une échographie afin de dater votre grossesse précisément. C’est très important car c’est seulement après cet examen que vous saurez exactement de combien votre grossesse est avancée, et si un avortement, et quel type d’avortement, est encore possible.

 

 

Le choix d’avorter ou non n’appartient qu’à vous, même si vous êtes mineur ! Personne ne peux vous forcer à avorter (pas même vos parents) et si vous décidez de garder l’enfant, des aides sont prévues ainsi que des foyers pour ados mamans.

Si vous décidez d’avorter, vos parents ne seront pas mis au courant, même si vous relevez de leur sécurité sociale, un système de cryptage est mis en place afin que l’avortement reste complètement anonyme et gratuit (en d’autres mots, ils n’en sauront rien).

 

Ce qu’il faut savoir : en France, depuis la loi Veil de 1975 modifiée en 2001, l’avortement est légal jusqu’à 12 semaines de grossesse soit 14 semaines d’aménorrhées (temps sans règles). Autrement dit, vous comptez le nombre de semaines à partir des premières règles qui ont suivi le rapport à risque.

--> Si vous êtes enceinte de moins de 7 semaines d’aménorrhées et donc 5 semaines de grossesse, vous pourrez utiliser l’avortement médicamenteux. Il s’agit de l’avortement le plus simple, et en + il ne nécessite pas de se rendre à l’hôpital : vous avez juste 2 comprimés à prendre à 1 jours d’intervalle et vous expulserez l’oeuf chez vous, après avoir probablement perdu beaucoup de sang… Ne paniquez pas, ces pertes importantes de sang sont normales. L’expulsion de l’œuf peut être douloureuse, mais rien d’insurmontable. Prenez donc juste ce mal en patience et en 2 jours ce ne sera plus qu’un mauvais souvenir.

--> Si vous êtes enceinte de + de 7 semaines d’aménorrhées soit 5 semaines de grossesse et moins de 14 semaines d’aménorrhées soit 12 semaines de grossesse, vous serez obligés de vous faire avorter dans un centre d’ivg (hôpital, clinique etc.). On vous proposera anesthésie générale (hospitalisation de 24H) ou locale (vous sortirez le jour même)

--> Si vous êtes enceinte de + de 14 semaines d’aménorrhées soit + de 12 semaines de grossesse, vous ne pourrez plus avorter en France. Vous pourrez toutefois encore avorter jusqu’à 24 semaines en Angleterre, aux Pays Bas ou en Espagne. Le planning familial vous aidera pour les contacts avec ces pays.

 

 

Combien ça coute ?

Source : http://www.planning-familial.org/themes/theme03-avortement/fiche04.php

L'avortement médicamenteux coûte :

- à l'hopital 257 euros

- en cabinet 190 euros

L'avortement par méthode chirurgicale coûte :

- avec anesthésie locale, 190 euros

- avec anesthésie générale et une hospitalisation inférieure à 12 heures, 240 euros

- avec anesthésie générale et une hospitalisation supérieure à 12 heures, 275 euros

La sécurité sociale prends en charge 80% des frais de l'intervention.

Certaines mutuelles peuvent rembourser le reste. Il est possible de demander l'aide médicale gratuite. Les mineures et les non-assurées sociales peuvent bénéficier d'une prise en charge financière totale par l'état.

 

 

 


 
 
posté le 19-06-2009 à 00:54:40

Dit maman, pourquoi je ne suis pas un garçon ???

Ah les mecs… Tantôt on les adore, tantôt on les déteste... Ils peuvent autant faire notre bonheur que notre malheur, et l’on ne compte plus les nuits passées à pleurer dans les bras des copines à cause d’eux.

Alors si pour une fois on inversait les roles ? Que se passerait-il si l’on troquait wonderbra et guèpières contre boxers et cravates ? La vie amoureuse et sexuelle est elle plus simple de l’autre côté du miroir ??? Pas si sûr…

 

 

« Serial Lover »

Le premier argument qui vient est qu’il est beaucoup plus accepté socialement d’être volage quand on est un homme que quand on est une femme. C’est vieux comme le monde : un homme qui a beaucoup de maitresses c’est un tombeur, une femme qui a beaucoup d’amants, c’est une salope.

Alors c’est sur quand on est une femme et que l’on n’a pas forcément envie de se caser, il n’est pas évident de trouver des relations sexuelles occasionnelles avec le minimum de respect qui devrait être du à chaque femmePourquoi ? Parce que pour la plupart des hommes, une femme qui lui fait comprendre qu’elle veut du sexe est soit une prostituée, soit une « salope » qu’il faut traiter comme telle (merci marc dorcel….)

Pourtant les femmes, elles aussi, ont des besoins sexuels à contenter, mais la morale, la société, les oblige à devoir les calmer seules, afin de préserver leur image de femme respectable.

Alors de ce point de vue la, c’est sur, il est mieux d’être un homme, car un homme ne craint pas d’être un nom de + sur la liste des amants d’une femme. Il assume beaucoup + ses désirs et pulsions que les femmes car il n’a pas la même pression sociale qui le menace.

 

+ de plaisir ?

Les hommes prendraient ils plus de plaisir que les femmes pendant l’acte sexuel ? Rien n’est moin sur. C’est sur c’est une question sans réponses puique personne ne pourra jamais vivre un orgasme féminin et masculin pour « comparer ».

Je pense que les femmes sont moins expressives dans le plaisir que les hommes (on sait bien que les cris c’est de la simulation histoire de donner de l’entreint au mec… ^^) mais cela ne signifie pas pour autant qu’elles ressentent moins de plaisir.

 

 

Certains prétendent que les femmes ressentent + de plaisir car elles peuvent avoir des orgasmes multiples, ce que ne peuvent pas avoir les hommes.

Mais tout est question de point de vue.

Par orgasme multiple, on entend en fait un orgasme qui vient en « plusieurs montées », le corps qui se contracte 2/3 fois en jouissant au lieu d’une seule. Ok. Mais ceux qui disent ça oublient un détail de taille : après avoir jouit le sexe de la femme devient très sensible, trop sensible, et le moindre contact en devient très désagréable. Au contraire, les hommes sont capables de recommencer assez vite, et de jouir de nouveau.

Alors tout est contre balancé.

Mais c’est vrai, selon les sondages, si elle avait la possibilité d’être un homme une journée, la première chose que voudrait faire une femme, c’est savoir ce que ressent un homme quand il fait l’amour à une femme.

Alors + de plaisir, je ne suis pas encore convaincue. La seule chose que je crois, c’est que les hommes et les femmes vivent leur plaisir différement.

 

+ « pratique » ?

N’importe qu’elle femme vous le dira, être un homme représente beaucoup d’avantages, ou plutôt, moins d’inconvénients.

Pas de règles, pas de pilule à ne pas oublie, pas de risque de grossesse non désirée à devoir gérer, pas d’hormones qui font péter des plombs, pas de gyneco, pas de kilos en trop qui rendent malades, pas de régimes draconiens, et bien sur comme expliqué précédemment, pas de pression sociale de « bonne moralité » à subir.

Mais cette réponse est trop facile. A chaque sexe, ses problèmes. Je suis sure que les mecs ont autant de petits problèmes quotidiens que les filles. Ce serait trop facile sinon !

 

 

 

Moins soufrir ?

D’une pensée commune, ce sont les mecs les « salauds » qui font pleurer les filles, et les filles les « victimes » de ces bourreaux des cœurs.

C’est complétement faux.

Certaines filles sont de vraies garces, et certains mecs souffrent énormément d’une désillusion amoureuse. Les filles ne sont pas + capables d’aimer que les hommes et les ruptures sont autant provoquées par les hommes que par les femmes.

Les hommes sont peu être + pudiques que les femmes dans leur tristesse. Et oui, car là c’est eux qui subissent une pression sociale : un homme doit être fort et ne pas pleurer, et encore moins à cause d’une fille.

On ne voit pas un homme aller pleurer une rupture sur les épaules de ses amis. Mais le fait de ne pas pleurer ne signifie pas ne pas soufrir.

 

 

Je suis une fille, et je ne pleure pratiquement jamais. Pourtant j’ai déjà passé des soirées entières à me sentir terriblement mal à cause de quelqu’un, à n’avoir plus envie de rien faire, de me haïr à un tel point que j’ai envie de me faire mal physiquement, et même desfois de le faire. Could someone causes this pain ? Je crois que cette douleur, ce sentiment de trahison, ce manque terrible de l’autre est suceptible de faire soufrir autant les femmes que les hommes.

 

 

Apprendre à s’accepter tel qu’on est, c’est le combat de toute une vie. On nait homme, on nait femme, on ne nous demande pas notre avis. C’est la fatalité du destin, assez injuste parfois.

 

Bonne nuit à tous et à toutes

VIOLET HILL

 


Commentaires

 

1. annielamarmotte  le 23-06-2009 à 06:19:31

ce serait si simple si nous étions des escargots....

 
 
 
posté le 04-06-2009 à 23:13:34

LE grand fantasme des hommes ?

Bonsoir,

 

Voici donc mon premier article, sur une pratique sexuelle souvent taboue ou redoutée par les femmes: la sodomie.

 

 

 

 

La pensée courante dit que la sodomie est LE grand fantasme des hommes. Je n'écris pas cet article pour juger ou quoi que ce soit mais juste pour livrer mon expérience.

J'ai testé la sodomie pour "ne pas mourir idiote" plus que par vrai désir.

 

 

Comment ça s'est passé? 

 

 

 

 

Le jour où je l'ai testé, j'ai d'abord fait l'amour avec mon copain (enfin mon ex ^^). Ensuite, il a pris du lubrifiant et en a mis sur mon anus. Il en a mis beaucoup et m'a préparé avec beaucoup de patience: le mieux c'est que le garçon prépare sa copine d'abord en pénétrant un doigt dans l'anus, pour le dilater.

Je le répère il faut beaucoup de patience, commencer par un doigt, puis deux, voir trois.

Je n'étais pas vraiment à l'aise, mais je n'avais pas de douleur. Par contre, quand il m'a pénétré avec son sexe, ça a été autre chose... Les premiers va-et-vients étaient à la limite du supportable...

Ensuite, la douleur s'est estompée mais, du coup, je ne ressentais plus rien, hormis cette gêne persistante, comme quand on a un caillou dans une chaussure.

 

 

 

Il a continué jusqu'à son orgasme puis s'est retiré: et ça a été les moments les plus horribles, et je dirais même humiliants.

La sensation que j'ai eue quand il s'est retiré, ça a été l'impression de me faire dessus. Une sensation proprement écoeurante, donc je suis allée, ou plutôt j'ai couru jusqu'aux toilettes, mais évidemment, ce n'était qu'une impression.Mais la sensation est restée pendant assez longtemps, pratiquement une heure.

 

 

Je ne l'ai pas refait depuis donc, comme je l'ai dis au début, je ne porte pas de jugements, je partage juste mon expérience ici, car je sais que beaucoup de femmes se posent des questions. Certaines détestent d'autres adorent cette pratique et y prennent beaucoup de plaisir: il faut croire que l'on ne fonctionne pas toutes pareil !

 

 

LAUDYS

 


Commentaires

 

1. trasboy  le 06-06-2009 à 09:40:33  (site)

un ti coucou en passant voir comment tu va ,nous au quebec on a enfin du soleil et du21 degrees,il etait temps enfin.ben moi je dirait que la sodomie doit etre consentente des 2 coté et que certains aime et d autre aime pas,je doit avouer que de mon coté j aime bien meme etant homme trans,mais je dirait aussi du comment sespreparer car pour que sa plaise et sans souffrance ily a quand meme une bonne preparation et une bonne approche,mais comme tu di certains aime et d autre pas et je respecte sela.
je te souhaite une tres belle journee,prend soin de toi.
alexandrexxxxxxxx

 
 
 
posté le 01-06-2009 à 01:06:06

Et si vous le laissiez le descendre sous la couette ???

Bonsoir à tous et à toutes

 

Il y a quelques mois, je faisais l’apologie du baiser parfait, et de comment y parvenir. Ce soir je vous parlerais d’un tout autre baiser, bien plus intime et plus orgasmique que n’importe qu’elle autre pratique sexuelle.

 

 

Je pense que tout le monde comprendra de quoi il s’agit, ainsi me pardonnerez vous cette pudeur qui me fait taire le nom de cette pratique afin d’éviter une éventuelle censure des modérateurs du blog, et aussi de ne pas placer un si vilain mot sur une aussi douce caresse…

 

Comme je le disais, il s’agit, comme pour la fellation, de quelque chose de tellement intime, que beaucoup de femmes refuseraient de laisser n’importe quel homme leur prodiguer cette caresse alors qu’elle pourrait coucher avec.

Laisser un homme descendre entre nos jambes, cela demande une certaine confiance en soit, mais aussi et surtout en son partenaire. Et oui, car ce n’est pas quelque chose de facile, et si l’on veut que ce soit réussit il faut réussir à se détendre, ce qui est tout sauf évident…

 

 

Alors voici quelques conseils à l’égard des hommes qui souhaiteraient contenter de cette façon leur partenaire. Je n’ai rien inventé, il s’agit d’une sorte de « condensé » de tous les témoignages que j’ai pu récupérer dans mon entourage et sur le net, auxquels j’ai ajouté ma petite expérience personnelle.

Alors bien sur, chaque femme est différente et ne prend pas du plaisir de la même façon : ce qui plait à une peut déplaire à l’autre. Il n’y a donc pas de technique universellement brevetée. Toutefois, ce qui suit devrait vous permettre de contenter le + grand nombre.

 

 

  Déjà messieurs, il faut montrer à votre partenaire que vous ne le faites pas uniquement pour lui faire plaisir, mais parce que vous aussi, vous en avez envie. En ce domaine bien précis, ce sont rarement les femmes qui demandent, même si elles en ont envie : c’est votre envie qui va faire qu’elles accepteront de s’abandonner ainsi entre vos lèvres.

A vous donc de mettre votre partenaire en confiance…

 

Comme qui dirait : « ne plongez pas au panier » directement, ne soyez pas brusques. Une femme ce n’est pas une paire de seins et un sexe. Commencez en douceur : embrassez votre partenaire, laissez vos mains glisser sur son corps, ses épaules, son dos, ses hanches, ses fesses, puis remontez doucement. Prenez votre temps, il s’agit avant tout de la détendre, lui montrer que vous aimez son corps, que vous la désirez, et que vous avez envie de la combler.

 

Une fois la confiance et la tendresse établie, vous pouvez commencer à appuyer vos caresses, à vagabonder sous son teeshirt, lui enlever afin de pouvoir lui caresser et lui embrasser la poitrine (c’est une zone très érogène). N’hésitez pas à l’embrasser dans le cou.

Vous pouvez alors passer aux choses sérieuses, et la caresser à travers le pantalon, puis si vous voyez qu’elle vous l’autorise, lui enlever son pantalon.

 

Vous voila alors prêt de l’objet du désir, mais encore une fois, pas de hâtive. Caressez la à travers le tissu de sa culotte, en insistant sur cette zone si sensible, mais n’appuyez pas trop, cela rendez la caresse désagréable pour elle. Si vous vous en sortez bien, vous sentirez sa culotte s’humidifier assez vite, et seulement à ce moment vous pourrez lui retirer.

 

Toujours pareil : on ne plonge pas directement la tête dedans. On commence par caresser autour, l’intérieur des cuisses, puis l’on s’approche doucement des lips, que l’on peut frôler du bout des lèvres. En principe, là votre partenaire aura atteint un niveau très avancé d’excitation, qui lui permettra de profiter entièrement de toutes les caresses que vous allez lui prodiguer par la suite.

 

Dés lors, vous pouvez aller droit au but, et entrouvrir les lips de vos doigts, avant d’y glisser votre langue. Il s’agit de « faire le tour » doucement (on n’appuie pas trop avec la langue) afin d’habituer madame à ces caresses. N’hésitez pas à faire des mouvements circulaires, c’est très très agréable.

Dit comme ça ce n’est pas très glamour, je sais, mais il est très important que la zone reste bien humide, car sans ça cela peut très vite devenir très désagréable pour madame. N’hésitez donc pas à envoyer de la salive avec votre langue (bien sur on ne « crache » pas, hein !)

 

Une fois que vous avez bien parcouru la région de votre langue, vous pouvez commencer à varier les plaisirs et rechercher ce qui plait à votre partenaire. Pour ça, pas de secret, il faut bien écouter son souffle, et être très attentif à ses réactions :

- si elle « bouge » trop quand vous parcourez certaines zones, bougez votre langue, c’est que vous êtes sur une zone trop sensible (et en général ça devient vite très désagréable) ;

- si elle semble « reculer », c’est que vous appuyez trop avec votre langue, mettez donc moins de pression. Elle peut au contraire, en « avançant » son corps, vous demander d’appuyer +.

 

Ne testez pas 40 trucs, ce qui fonctionne ce sont les mouvements circulaires (on fait des petits cercles avec sa langue), réguliers, et de plus en plus rapides.

 

En principe vous avez les mains libres, il faut vous en servir. N’hésitez pas à lui caresser la poitrine, le ventre (très très érogène), les hanches, les fesses, les cuisses etc.

Quand vous sentez le moment venu, vous pouvez essayer de glisser vos doigts en votre partenaire et la pénétrer doucement de la sorte, tout en continuant les caresses avec votre langue. Il ne faut surtout pas être brusques : c’est à vous de voir si elle aime ça ou pas, si vous devez « aller plus fort » ou au contraire arrêter.

Certaines croyant au point G, vous diront que la bonne technique pour le stimuler, c’est d’entrer deux doigts courbés vers le haut à 1 ou 2 cm de profondeur.

Si vous êtes un peu audacieux, vous pouvez tenter de faire une sorte de « french kiss » en entrant votre langue en votre partenaire.

 

Au bout d’une dizaine de minute à ce rythme, votre partenaire doit être au bord de l’orgasme. Et là pourtant, rien n’est gagné. Si pour les hommes le plaisir se traduit par la montée d’une pression qui finit par exploser en orgasme, chez les femmes il s’agit de plaisirs montant et descendants, et l’orgasme n’est qu’une montée plus rapide que les autres, que l’on ne sent pas toujours arriver. En d’autres termes, vous pouvez bien tout faire, sans que pour autant il n’y ait d’orgasme pour madame à la clé. Cela n’empêche en rien son plaisir, croyez moi, vous n’avez pas « perdu votre temps ».

Toutefois si vous êtes chanceux, il se peut aussi très bien que vous voyez le souffle de votre partenaire s’accélérer de plus en plus, et les muscles de ses jambes se crisper. Dans ce cas, n’arrêtez surtout pas ce que vous faisiez avec votre langue, et contentez vous de l’accélérer. Ne vous arrêtez pas avant que votre partenaire vous invite à « remonter ». C’est très important car beaucoup de femmes jouissent en plusieurs contractions et si vous vous arrêtez dés la première contraction, vous stoppez net le plaisir !

 

 

Une fois que votre partenaire ne bouge plus et est en train de reprendre son souffle, vous pouvez dés lors « remonter » pour vous blottir contre sa poitrine.

Certaines femmes ne veulent pas être embrassées « juste après » et seraient dégoutées par un baiser qui pourrait porter le gout de leur chaire. D’autres, au contraire, veulent partager un baiser profond (french kiss) avec leur partenaire, « juste après ». En général dans ce dernier cas, elles vous le feront comprendre. Si vous avez un doute, approchez vos lèvres, vous verrez bien si elle détourne la tête ou pas, et si c’est le cas embrassez la dans le cou.

 

 

Voila,

Encore une fois, toutes les femmes sont différentes, on ne peut pas faire de « méthode globale », mais j’espère vous avoir un peu aidé, autant les hommes que les femmes.

 

 

Je vous embrasse

 

VIOLET HILL

 


Commentaires

 

1. egypt_cow  le 02-06-2009 à 01:55:50

oh oui, si vous le faites aussi bien que vous le racontez, je prendrais bien un RDV.

gros poutoux

2. annielamarmotte  le 03-06-2009 à 14:53:57

ah cette boite de Pandore..... elle en contient des trucs.....

 
 
 
 

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