posté le 22-11-2009 à 19:05:11

Capotte craquée: on ne panique pas !

Bonjour à tous

 

Aprés une longue absence me revoila pour aborder un sujet pour lequel j'ai eu quelques informations trés utiles de la part d'un médecin il n'y a pas longtemps. Je souhaitais donc vous les faire partager.

 

 

 

Vous êtes en plein ébat avec votre amoureux, votre amant, votre fuckfriend, ou que sais je encore, vous êtes parfaitement seraine, puisque vous pratiquez le sex protégé (préservatif ou diaphragme), et la tout d'un coup, un bruit bizzar, suivit d'un regard livide de votre partenaire: la capote a craqué

 

=> Alors surtout, ON NE PANIQUE PAS !!! De 1, ça ne sert à rien, et de 2, il y a des solutions à ce problème.

 

Plusieurs cas de figures peuvent se présenter:

1) Vous et votre partenaire avez été testé négatifs pour les IST et MST, mais Madame ne prend pas la pillule (ou autre contraceptif):

 

 

direction la pharmacie la plus proche (si on est dimanche, on cherche une pharmacie de garde), et l'on demande immédiatement la pilule du lendemain (gratuite pour les mineurs) qui , contrairement à ce que laisse penser son nom, ne se prend pas le lendemain du rapport à risque, mais le + vite possible. En effet, c'est le seul moyen d'éviter une grossesse non désirée, et c'est efficace à 95% si elle est prise dans les 12H suivant le rapport à risque ! On ne perd donc surtout pas de temps.

On la prend donc le + tôt possible en lisant bien le mode d'emploi au préalable !

 

Evidemment, ne pas oublier de faire une prise de sang dans les 15jours qui suivent afin d'être sur qu'il n'y a pas de grossesse débutée.

 

 

2) "On a pas fait de test, mais Jmen fous, jprend la pillule"

 

 

--> Trés  trés trés mauvaise réaction ! La capote ne sert pas uniquement de moyen de contraception, c'est avant tout une protection contre les maladies et infections sexuellement transmissibles comme la syphilis, l'hépatite mais surtout le SIDA. Alors si vous et votre partenaire n'avez pas été testé négatifs pour les IST et MST, une seule chose à faire (et on n'hésite pas): aller aux urgences dans les 12H qui suivent où une tritérapie préventive vous sera prescrite. C'est extrémement efficace si c'est prix rapidement.Cela permet notamment d'empêcher de contracter le virus du SIDA si vous y avez été exposé dans les 12H précédentes. Il n'y a donc pas de temps à perdre !

 

Et la aussi bien sur, test HIV et autres MST a faire quelques jours aprés ce rapport à risque (et à confirmer au bout de 3mois), et bien sur, pas de relation sexuelle non protégée avant la confirmation que vous n'ayez contracté aucun virus !

 

 

Vous avez donc bien compris, on ne plaisante pas avec une capote craquée, car il y a des solutions, mais elles impliquent une réaction instantanée de votre part !

 

 

Que faire si cela se reproduit ?

Un préservatif qui craque une fois, ce n'est pas normal mais ça peut arriver. Plusieurs préservatifs qui craquent, c'est qu'il y a un problème:

          - soit vos preservatifs ont été altérés (chaleur, soleil, date de péremption passée), et dans ce cas la jettez la boite immédiatementet rachetez en une autre (en pharmacie c'est toujours mieux qu'en grande surface)

          - soit c'est vous qui les utilisez mal et dans ce cas la il faut remédier au problème trés vite ! Relisez le mode d'emploi: faites vous bien tout ce qui y est indiqué ? Pour l'essentiel il faut surtout bien pincer le bout du preservatif quand vous l'enfilez afin de chasser l'air, c'est une des première causes de craquage des capotes. Ensuite, faites trés attention quand vous l'ouvrez: l'emballage se déchire, et ne se coupe surtout pas avec des ciseaux ou encore avec les dents. De même, faites attentions si vous avez des ongles longs.

 

 

J'espère que tout ceci vous sera utile !

 

Sortez couverts

 

 

Bien à vous

 

VIOLET HILL


 

 


 
 
posté le 12-08-2009 à 16:24:37

Avaler, pourquoi serait ce tabou ?

Bonjour à tous,

 

Aujourd'hui, un article par un nouvel auteur: JESS

 

 

 

Il y a quelques années, quand j'imaginais la fellation je pensais qu'il me serait impossible d'avaler. Et puis j'ai un peu vieilli, j'ai laissé mes appréhensions de côté. Aujourd'hui c'est une pratique que j'aime beaucoup, l'acte me plait et le gout ne me dérange plus.

 

 

J'ai remarqué en en parlant autour de moi que ce n'est pas le cas de toutes les filles - même si certaines n'osent pas l'avouer -, aussi voici un petit texte avec dix raisons d'après moi de sauter le pas et de faire plaisir à nos hommes.

 


1 Cela prolonge le plaisir de votre homme lors du meilleur moment de la fellation, l'éjaculation. Cela évite une rupture du contact avec la bouche, ses mouvements et sa chaleur. Lorsqu'une femme fait une fellation à un homme, c'est normalement un geste d'affection, alors pourquoi priver l’homme que l’on aime de ce dernier plaisir ?
 
2 Lui perçoit ce dernier geste comme une acceptation de lui tout entier par vous. La plupart des hommes accordent de l'importance à leur sperme. D'où un certain agacement à la longue si leur partenaire manifeste un dégoût pour ce qui vient d'eux.
 
3 Cela évite d'en mettre partout, de laisser des traces. Et économise l’utilisation de papiers et kleenex.
 
4 Quand on commence quelque chose, on finit !
 
5 C'est un moyen de contraception ! (bon je sais, c'est limite comme argument !)
 
6 Le sperme n’est pas sale. Le rebut des débutantes, même si elles ne se l’avouent pas, est mental. Pour elles, cela sort du pénis, comme l’urine. L’erreur est que l’urine est un déchet du corps, ce qui n’est pas le cas du sperme qui est une matière saine et propre, le liquide originel d’où viennes les bébés. Rien n’est sale dans le sperme, et le liquide spermatique contient même des bienfaits puisque sa matière doit nourrir les spermatozoïdes.
 
7 Des études scientifiques du sperme ont permis d'établir qu’il contient d’autres bienfaits : "Contient des matières psychotropes qui ont des effets proche du Vallium. Il protègerait donc de la dépression" ; "Ne contient pas de testostérone mais contient du fructose à index bas ; de l’eau ; de la vitamine C ; des enzymes ; des protéines ; des oligo-éléments comme le zinc et autres vitamines de valeur biologique supérieur à tout autre produit" ; Certaines rumeurs disent aussi que le sperme ferait maigrir (cette information reste difficile à vérifier)


8
Une fille peut ressentir elle aussi un grand plaisir à accomplir ce geste, perçu par celles qui le pratiquent comme une acceptation tout entière de leur partenaire. Mentalement aussi, certaines verront dans cet acte une soumission – qui peut les exciter –, d'autres une domination, d'autres une simple finalité. Quoi qu'il en soit, c'est un geste qui peut se révéler excitant.
 
9 Un homme, quand il fait un cunni à sa partenaire, avale lui aussi la cyprine qui sort régulièrement. Lorsque l'orgasme de la femme arrive, elle peut apprécier le plaisir de sentir la bouche de son homme qui continue encore, sur sa vulve ; pourquoi ça irait dans un sens et pas dans l'autre ?
 
10 "C'est en forgeant qu'on devient forgeron". Qui n'a pas été rebuté par un plat, une boisson étant jeune, avant de s'apercevoir que ce n'était pas mauvais, voire même y prendre goût ? C'est un peu comme le vin rouge. Il suffit de laisser ses à priori de côté, de tenter et de s'habituer petit à petit. Après ça devient naturel.

 

 


Attention – Tous ces encouragements ne doivent pas éluder une chose. De nos jours, malheureusement, des IST circulent. Et il est du devoir de chacun de se protéger. Même si le risque en fellation est inférieur à une pénétration, il existe quand même. Il est donc vivement déconseillé de pratiquer une fellation sans préservatif à quelqu’un dont on n’est pas sûr.
 
Les conseils ci-dessus s’appliquent donc pour des relations sérieuses, entre gens qui se connaissent et font l’amour sans préservatif.
 
Bises !
 
P.S. Celles/ceux qui voudraient d'autres conseils, vs pouvez venir me parler sur msn, mon adresse c'est jessiklaparisienne@hotmail.fr

 

 

JESS

 


Commentaires

 

1. cutychamallo  le 25-09-2009 à 14:08:03

C'est pas bon... Voilà pourquoi on avale pas

 
 
 
posté le 05-08-2009 à 22:50:04

It's a heartache.... Nothing but a heartache...

Bonsoir à tous et à toutes,

« Qu’est ce que je deviendrais, qui me consolerait,

si tu n’étais plus là… »

 

 

 

 

Ce soir, j’aimerais (ou plutôt j’en ai besoin) parler de souffrance, de cette déchirure que l’on ressent au fond de soit quand on perd soudainement la personne que l’on aimait plus que tout au monde…Il peut s’agir aussi bien d’un ami, d’un amant que d’un défunt…en d’autres termes, quelqu’un que l’on aimait suffisamment pour pleurer son absence

 

 

 

 

Alors bien sur, souvent il n’y a pas de mots autres que les larmes pour exprimer une telle douleur, mais pourtant, il faut bien apprendre à s’en remettre…Le temps finit toujours par atténuer la douleur, même si cela peut être très long…

 

En médecine, on dit qu’il y a 5 étapes que traverse le malade avant d’accepter sa maladie. Je crois que ces 5 étapes sont les mêmes traversées par celui ou celle qui se sent blessée en plein cœur…

 

1) Le déni

 

« Il reviendra », « On n’a pas rompu c’est juste un break », « Il va réaliser son erreur et je vais le retrouver à ma porte »…ou encore plus simplement « non ce n’est pas arrivé, ce n’était qu’un cauchemar, je vais me réveiller et il sera là… »

 

C’est probablement l’étape la plus difficile… On est encore sous le choc… On revit en image dans sa tête tous les moments passés ensembles, les mots échangés, et l’on cherche où on n’a pu faire une erreur, où on a manqué un « signal » qui aurait du nous alerter…

 

 

 

On ne vit plus, on pleure toute la journée, on attend la nuit avec impatience pour pouvoir non pas dormir, mais rêver de lui, et en rêve on s’imagine le voir revenir… Mais bien sur, il y a toujours le réveil qui revient brusquement nous ramener à la réalité

 

 

 

On commence alors à penser à l'impensable, on se fait du mal, on a es idées trés noires... Parfois même l'on tente des gestes désespérés, tout en sachant qu'il nous raménerons jamais cet être si cher que l'on a perdu...

 

2) La colère

En voyant les espoirs induits par le déni ne pas se réaliser, la colère prend alors le dessus, et c’est probablement l’étape du processus d’acceptation pendant laquelle on se sent le mieux… On se sent enfin respirer, on peut se lâcher…

 

« Il n’est pas revenu, quel enfoiré ! Comment a-t-il pu faire ça ? Après tout le temps passé avec lui, après tout ce que j’ai fait pour lui ! Comment a-t-il pu ? C’est injuste ! Pourquoi moi ? Je hais les hommes, on est bien que seul » etc.

 

 

 

Mais l’accès à cette étape est très difficile…. Quand on a tellement aimé, quand on n’a vécu pendant des jours, des mois, des années, que pour quelqu’un… on l’aime encore tellement que l’on refuse l’étape de la colère. On ne veut pas haïr celui que l’on aime encore. On a beau penser que ce qu’il nous a fait c’est immonde, rien n’y fait, on continue de l’aimer…

Passer de l’amour à la haine, chez certaines femmes c’est quasi instantanée… Chez d’autres, cela peut prendre plusieurs mois… Tout dépend aussi bien sûr de la gravité de l’affront subit… Il est plus facile de haïr quelqu’un qui vous a trahit que quelqu’un qui est parti du jour au lendemain sans explications… Comment haïr quelqu’un pour des faits que l’on ne comprend même pas ?

 

3) Le marchandage

On a finit de déverser toute sa colère sur l’ancien amant, et dans un moment de calme, on se remet à espérer… C’est une étape que l’on regrette souvent amèrement après, car l’on est tellement malheureux dans ces moments que l’on en devient pathétique

 

 

 

 

Alors l’on se met à « marchander » avec l’autre, à « négocier » son retour :

 

« Si tu reviens je ne ferais plus ça, je changerais, je serais moins jalouse, je ferais des efforts…Donne moi une chance, je serais celle qu’il te faut... »

 

Quand on est encore plus mal, on se met même à prier un Dieu auquel on ne croit pas, et on lui demande le retour de l’être aimé en lui promettant dévotion en retour….

 

« Je vous en pris, si vous me le rendez, je ferais… ou ne ferais plus ça… etc. »

 

Le plus difficile dans cette étape, c’est qu’elle ressemble au déni, car quand on marchande de la sorte, d’une certaine façon « on y croit »

 

4) La dépression

 

 

 

C’est la fin totale des espoirs induits par le déni, et l’échec du « marchandage »… Parfois lors du marchandage, on a entendu des vérités qui font encore + mal que le silence, et ce sont elles qui nous mènent directement à la dépression….

 

« Si lui m’a quitté, personne ne m’aimera… je suis nulle, je suis moche, c’est ma faute… Je vais finir vieille, et seule…. »

 

5) L’acceptation

C’est la dernière des étapes… On n’a plus d’espoirs, et l’on ne souhaite plus en avoir… Sans forcément avoir accepté le départ de l’autre, on a finit par s’y habituer…

 

« C’est du passé, n’en parlons plus ».

 

 

 

 

Il ne faut jamais se remettre en couple avant d’être sur d’avoir accomplis ces 5 étapes… Sinon ce nouveau couple sera à nouveau voué à l’échec, ce qui rendra la dépression encore + difficile…

Ces 5 étapes, bien que très douloureuses et pouvant être très longues, sont nécessaires pour se reconstruire, pour retrouver ses marques dans une nouvelle vie sans l’autre…

 

 

Bien à vous,

VIOLET HILL

 


Commentaires

 

1. cutychamallo  le 25-09-2009 à 14:09:00

Grosse nulle... Si tu m'avais dit qu'on pouvait écrire des trucs pareils, je l'aurai fait avant... BOUH!!!!!!!!!!

 
 
 
 

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