Auteur : Laudys-et-VioletHill
Date de création : 31-03-2009
Liberté sexuelle : des sensations en effusion…
Bonjour à toutes et tous,
Pour mon premier article, j’ai décidé de vous parler d’un sujet qui m’émoustille^^ : le libertinage. Le thème parait un peu flou mais je préciserai ma pensée au fil de l’article.
Par libertinage, j’entends libertinage de mœurs, soit, « celui qui s’adonne aux plaisirs charnels avec une liberté qui dépasse les limites de la morale conventionnelle et de la sensualité bourgeoise normale, mais aussi, avec un certain raffinement cultivé » (comme dirait une certaine source de définitions bien connue…).
Bon je vous l’accorde, le libertin des temps modernes se contrefiche du « raffinement cultivé » et de la « sensualité bourgeoise normale ». Ce serait plutôt une liberté sexuelle sans morale.
Qui n’a jamais rêvé de se retrouver nu(e) dans le noir, en sueur avec à ses côtés, un beau mâle ou une jolie tigresse ? Qui ne s’est jamais dit que ça serait plus facile de s’adonner à ce genre de plaisirs sans penser aux conséquences ? Qui ne s’est jamais surpris à penser « à deux, c’est bien, mais à trois ? C’est peut-être mieux… » ?
Une liberté post-hippie : l’héritage sensuel de nos aïeuls
C’est ainsi que certaines de nos consœurs ou certains de nos confrères ont décidé de vivre leur vie. Un partenaire par soir, sans se soucier du lendemain ; une nuit où tout est possible, même revisité le Kâma-Sûtra ; accueillir un troisième intervenant… Tomber dans un tourbillon d’émotions et de sensations, une envie qui colle au corps… Quoi de plus enivrant qu’un orgasme sans prise de tête?
Tout cela ne serait possible sans l’aide divine de nos chers aïeuls hippies qui nous ont apporté la tant désirée « libération sexuelle ». Le sexe sans tabou, sans souci… Faire l’amour dans les bois ou en public n’était pas anormal, bien au contraire !!
On pourrait vivre selon le précepte « faites l’amour pas la guerre » (auquel on pourrait rajouter : « les capotes ça coûte moins cher que les bombes nucléaires », entendu en boucle mais pas faux du tout)
Ce mode de vie pourrait être recommandable, même enviable, pour son propre plaisir. Mais n’oublions pas que la génération hippie a été suivie d’une médiatisation incroyable sur les dangers d’une trop grande liberté sexuelle : le sida, les MST…
Le sexe, ok, sans modération mais sans danger non plus.
On voit beaucoup trop aujourd’hui de jeunes vies dégringoler pour une minute voire une seconde de plaisir.
« Génération porno »
Pour commenter ce sous-titre, une petite vidéo :
Waouh !!! (pourrait-on dire)… Une jeune fille totalement libérée de toute morale qui aime à « se faire embrocher comme un bout de viande » !!! C’est génial ça !!!!
Enfin, pas trop en fait…
Génération porno, génération sexo, génération trop trop, si vous voyez ce que je veux dire. Nos jeunes de maintenant sont bien précoces et bien peu conscients des dangers du sexe sans limites. Dans le même reportage, on apprend qu’un jeune garçon a connu sa première expérience à plusieurs à l’âge de 13 ans. Décevant…
Je pense qu’il y a un temps pour tout, et qu’il faut une certaine maturité pour pouvoir profiter à fond de cette expérience et ne rien regretter.
Enfin… Alors que Barbie fait des galipettes, eux en font aussi. Et pas tout seul. Comme le démontre cette vidéo.
C’est vrai, comme on l’a vu plus haut, la liberté sexuelle c’est bien, mais là, c’est limite du porno !! En même temps, ils disent vouloir faire comme dans les films…
Le problème de ce genre de pratique est qu’on perd toute notion de plaisir… On ne fait plus l’amour pour l’envie, parce qu’on le désire, mais tout simplement « pour se faire embrocher ». Alors où est passé la sensualité ? Où est passé la sorte de connexion qu’on peut avoir avec le ou les partenaires ?? Le sexe c’est quand même une sorte de fusion avec l’autre, ne faire qu’un, écouter son plaisir comme celui de l’autre… Et pas se « faire défoncer comme un bout de viande »…
Mince alors, les filles, nous ne sommes pas des bouts de viande !!! Nous sommes des personnes, des hommes et des femmes qui se respectent et qui ont besoin de décence !!!
Et le premier respect qu’on se doit, c’est de se faire respecter. Et aussi de se protéger. Car le sexe sans protection, ce n’est plus du plaisir, mais du danger voir du suicide.
La bonne équation serait donc : summum de la jouissance = partenaire (c’est sûr que tout seul c’est plus dur…) + respect + plaisir + protection. Là c’est que du bon !
Je vous laisse méditer.
Prenez soin de vous et sortez couverts !
FAVOLE
Commentaires
tres bon article et a mediter aussi.j en aurais beaucoup a dire sur le sujets,mais sa serait trop long a decrire j en aurait pour des jours si on peut dire ainsi,mais j aime bien votre blog et je vais y revenir vous lire.
merci de votre visite sur mon espace et bonne journee
alexandre
Je me souviens quand j'ai vu ce reportage sur arte de cette jeune fille qui m'avait vraiment marquée... Ce qui me choque le + ce n'est aps qu'elle s'envoie en l'air avec des tas de mecs, non, c'est qu'elle ne semble y prendre aucun plaisir...
Pour coucher avec qqun on a besoin de confiance et respect non ?
hmmmmmmmmmmmm ya personnes qui comment le txt.
bon rien à dire .à part .que l'explication du sujet est assez vague (oui, je sais c'est votre premier article, ne prenez pas mal mes réflexions)
pour la vidéo.. c'est son prob... et ca peut mal finir en couple (après mariage, du style oui je t'aime mais j'ai besoin de baiser avec plus de méks pour varier, car je me fait chier... alors... ) si non un truc juste durant son interview c'est .. " c'est faire plaisir à l'autre " et ca c'est vrai..
si non je cherche cette perle rare, (oui les old cliches) pour faire des folies avec et pas coucher avec une qui passe.
car les sex est un complément d'une relation qui est un complément d'une attirance psyco-physique qu'on peut appeler amour. et pas l'opposer et je vois les mal les choses séparément.
si .. avec un MAIS; connaitre son sex-partner ( avoir du respect, et être conscient à DEUX ce que vous faites et où ca va mener)
donc en gros je suis contre et c'est pas mon truc.
bonne journée